Le Cap Vert est un archipel de 10 îles volcaniques au large du Sénégal, dans la bande sahélienne. Depuis toujours ses habitants ont vécu difficilement (sécheresses et famines) ; c'est pourquoi aujourd'hui 70% des Capverdiens habitent à l'étranger.
A Mindelo, sur l’île de São Vicente, Irmãos Unidos (Frères Unis) s’occupe de jeunes garçons de la rue ou très pauvres. Son objectif est d'amener ces jeunes à réintégrer au mieux leur milieu familial, quand cela est possible, et à les aider à trouver une place dans la société, en particulier par un début de scolarisation et/ou une initiation professionnelle.
Enfants du Sud a rénové à deux reprises leur centre d’accueil : installations sanitaires en 2011 (2 000 €) et construction d’un étage servant notamment de dortoir en 2019 (50 000 €).

A Mindelo, Irmãos Unidos s’occupe de jeunes garçons de la rue ou très pauvres. Son objectif est d'amener ces jeunes à réintégrer au mieux leur milieu familial, quand cela est possible, et à les aider à trouver une place dans la société, en particulier par un début de scolarisation et/ou une initiation professionnelle.
Pour cela un centre, géré par Caritas de Mindelo, accueille une quinzaine d’entre eux, âgés de 10 à 16 ans. Ils y trouvent le gîte et le couvert et y vivent dans un climat familial. Suivis médicalement et psychologiquement, ils vont à l’école et des éducateurs les soutiennent pour leurs études. Différentes activités leurs sont proposées : jardinage, capoeira, recyclage du papier etc…
Depuis 2007, Enfants du Sud prend en charge le projet, soit un budget de 13 000 € en 2025 (hors salaires payés par Caritas)
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Madagascar, sans doute le plus beau pays de la planète, est aussi un des plus pauvres, touché régulièrement par des catastrophes naturelles qui laissent le pays s’appauvrir de plus en plus (les famines étant souvent à craindre). Beaucoup d’enfants ne peuvent pas être scolarisés et dans les grandes villes, nombreux sont ceux qui vivent dans la rue. Malgré cette pauvreté, les Malgaches savent garder leur sourire.
C’est à Antananarivo, la capitale, où la situation est la plus alarmante, que nous avons décidé d’agir en soutenant financièrement une équipe de religieuses et laïcs qui aident les plus défavorisés. Depuis 2007 nous payons le salaire d’une assistante sociale et, depuis 2024, d’une seconde personne pour l’aider. Leurs tâches, multiples, portent heureusement leurs fruits.
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Entourée d’une équipe, au sein de la paroisse Christ-Roi, notre assistante sociale participe à la renutrition d’enfants malnutris amenés par des familles incapables de les nourrir ou confiés par un hôpital ou un orphelinat, la plupart étant orphelins ou abandonnés. Ces enfants, garçons et filles, ont généralement entre 6 mois et 5 ans. Ils sont pesés chaque mois et suivis par un médecin ; ainsi la grande majorité d’entre eux arrive heureusement à retrouver un poids normal et une meilleure santé au bout de quelques semaines.
L’équipe sur place, financée par Enfants du Sud, a pris en charge 235 enfants en 2024 (1960 enfants sauvés depuis le début du projet en 2007). 
En 2025, le budget que nous avons alloué pour cette action, y compris l’achat des produits alimentaires, est de 13 300 €.

Depuis 2015, chaque année, nous prenons en charge la formation professionnelle de 25 jeunes d’Antananarivo. Ils sont sélectionnés par notre assistante sociale d’après leur cursus scolaire, leur situation familiale, leur capacité et leur envie d’apprendre.
Plusieurs formations sont proposées : mécanique-auto (10 jeunes), plomberie (5 jeunes), coiffure (5 jeunes) et esthétique (5 jeunes). Des cours d’anglais sont aussi possibles pour les stagiaires en coiffure et esthétique.
Ces formations ont lieu dans des centres de formation agréés par l’Etat et des diplômes sont remis aux jeunes qui réussissent (rares sont les échecs). A la fin de la formation, de l’outillage ou du petit matériel est remis par nos soins aux meilleurs d’entre eux afin de les aider à démarrer dans la vie active.
Pour cette action, Enfants du Sud a alloué un budget de 6 700 € en 2025.

Beaucoup d’enfants rencontrent d’énormes problèmes pour suivre une scolarité normale à Madagascar. Même si les frais d’écolage nous paraissent minimes, que peut faire par exemple une femme vivant seule avec 3 ou 4 enfants et 23 € par mois (revenu moyen d’un Malgache), sans eau courante, sans électricité, sans cuisine, vivant souvent dans une seule pièce sans lit ?
C’est pourquoi Enfants du Sud a mis un programme de parrainage en place : notre assistante sociale sélectionne parmi les plus pauvres quelques enfants capables et désireux de poursuivre leur cursus scolaire à Antananarivo tandis qu’en France nous essayons de trouver, avec beaucoup de difficultés, des parrains et marraines pour les aider. En 2025 un parrainage est de 280 €/an (soit 95 €/an après déduction fiscale). Nous avons actuellement 8 parrainages en cours, c’est peu, et recherchons actuellement de nouveaux parrains ou marraines pour 2 enfants.

Le Brésil, pays immense et riche, très métissé, abrite aussi une importante population pauvre, démunie, déracinée, vivant dans des bidonvilles souvent dangereux. A Salvador de Bahia, ville très touristique de population majoritairement noire, Enfants du Sud participe financièrement à un projet paroissial dans la favela des Alagados, connue pour être la plus misérable du Brésil.
Notre première action fut, en 2006, le financement d’une cuisine semi-professionnelle dans le centre « Être enfant aux Alagados » (8 000 €). Elle permet depuis d’offrir deux repas équilibrés par jour à 90 enfants et adolescents issus de familles extrêmement pauvres (32 000 repas servis). De plus, depuis 2014, presque 30 000 litres de soupe ont été distribués à environ 300 familles.

Depuis 2007, Enfants du Sud participe financièrement au projet paroissial « Être enfants aux Alagados », dans la favela la plus misérable du Brésil. Par manque d’infrastructure, les enfants du pays fréquentent l’école soit le matin, soit l’après-midi. Ils ont donc un temps énorme de liberté et sont bien souvent entièrement livrés à eux-mêmes…
Grâce à ce projet 90 enfants et adolescents sont aidés chaque année dans leur scolarité et leur développement. En plus de deux repas équilibrés quotidiens, ils profitent principalement de soutien scolaire, mais aussi d’activités variées : sport, jardinage, jeux, sorties. Ils sont entourés d’éducateurs et de volontaires. 
Notre financement actuel s’élève à 14 000 € par an.
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